Le team Normandie Appâts a effectué une sortie bateau cet automne pour tenter de pêcher des daurades royales. À l’approche de l’hiver, ces poissons quittent en effet les faibles profondeurs côtières pour commencer à migrer vers le large. Il est alors possible de les trouver dans des fonds de quelques dizaines de mètres avant leur départ vers des profondeurs plus importantes où elles passent l’hiver.

Tout comme le reste du team Normandie Appâts bateau, Walter Sarret utilise ici un Montage Sparidés Napa. Son premier avantage est d’être immédiatement prêt à l’emploi et d’éviter de perdre du temps – ce qui représente autant de temps de gagné en pêche ! Il suffit de le dérouler et de l’attacher à votre ligne pour commencer à pêcher. Difficile de faire plus simple et rapide !

Ce montage est monté sur un plioir rond en mousse EVA ultra pratique. Il est aussi conditionné dans un packaging en carton qui le protège. Un conditionnement qui facilite son transport et qui permet de toujours disposer d’un montage à portée de main !

Comme son nom l’indique, ce montage a été spécifiquement conçu pour pêcher les sparidés tels que la daurade royale. Il dispose de 3 empiles afin de multiplier les chances de toucher du poisson dans 3 hauteurs d’eau différentes. Ainsi, il possède 2 empiles hautes de 30 cm et un traînard bas de 60 cm en fluorocarbone 26/100 qui sont maintenus sur le bas de ligne avec des roto-perles à 4 trous. Encadré de micro-perles, ce système de fixation garantit une parfaite rotation des empiles dans toutes les directions et évite donc les phénomènes de vrillages si fréquents lorsqu’on pêche en bateau. 100 % en fluorocarbone, ce montage offre une discrétion idéale pour tromper les farouches sparidés !

Pour cette pêche en bateau de beaux sparidés, le team a choisi d’utiliser du Bibi Normandie Appâts. Ultra résistant, ce ver convient particulièrement bien à la pêche des daurades royales – et d’autant plus en bateau. En effet, sa peau robuste lui permet de résister longtemps aux petits poissons indésirables. Ce ver très épais et de forte section représente également une belle bouchée qui fait bouger les poissons sur de grandes distances. Sa couleur blanche avec des reflets nacrés et son jus très attractif en font vraiment un appât de choix pour pêcher la daurade royale !

Ce ver de 10 à 18 cm est résistant et supporte bien les attaques du menu fretin en attente de la « belle aux sourcils d’or ». Il est particulièrement attractif sur la daurade royale. Avec son corps épais et ferme, il a tendance à sélectionner les beaux poissons. Des tronçons de quelques centimètres sont suffisants pour escher un hameçon – ce qui le rend économique.

Si le cycle des daurades est connu, savoir quand a lieu leur migration et à quelle profondeur elles se trouvent lors de votre sortie est beaucoup plus délicat ! Bien que cette session se déroule fin octobre, les températures restent exceptionnellement hautes. L’eau est encore à près de 20° même à plusieurs milles nautiques – ce qui est atypique. Des conditions qui ne favorisent pas leur rassemblement – ce que le team comprend très rapidement. En effet, même avec de multiples déplacements, il semble que les daurades ne soient pas encore là. Il est évident qu’elles n’ont pas encore quitté la frange côtière.

Les pêcheurs parviennent ainsi à pêcher uniquement 2 daurades royales – ce qui est très peu pour une journée entière de pêche. Comme celle que nous montre Walter, ces poissons étaient assez petits et ils ont été aussitôt relâchés.

Mais en les recherchant, le team réussit néanmoins à prendre une très grande diversité de sparidés. Les espèces les plus présentes furent ainsi les pageots communs et les veirades.

Les pêcheurs réussissent également à prendre quelques dorades grises, des pageots acarnés, des sars, etc. Autant de sparidés qui ont comme la daurade royale la particularité d’offrir des combats très plaisants à la canne ! Cette famille de poissons a ainsi pour habitude de donner de puissants coups de tête – ce qui rend leur pêche très fun ! Et comme souvent en pêche, la diversité des espèces touchées s’avère souvent aussi intéressante que réussir à trouver le type de poisson qu’on ciblait.